Si vous me pincez, ça fera moins mal que la douleur que j'ai vécu... et pourtant.
Des mots gentils qui font du bien
Bonjour à vous qui aspirez au bien-être par la voie du yoga.
La campagne de levée de fond n'est pas encore lancée et voici que nous avons reçu une généreuse contribution
Non
Ce ne sont pas des jetons ToshiYog qui ont été reçus dont il s'agit
Cette bannière trompe l'oeil ;-)
Je viens de recevoir la confirmation d'une première contribution financière pour soutenir l'organisme à but non lucratif YPSG sera reçu.
Mot de Johanne Verdon
Première contribution à faire de YogaPartout une OBNL connectée
Voici une capture d'écran qui passe aux anales de cette aventure, cette réalisation qu'est YogaPartout. Cela démontre bien qu'avec le temps et l'intelligence de persévérer, tout est possible... ou presque.
J'ajoute le mot "... ou presque" parce-que je ne veux pas que tous les mots, toutes les pensées et tout le pouvoir de la pensée soient aussi au service de ce qui est nuisible pour la survie de l'humanité.
J'ai reçu la réponse de cette dame, Johanne Verdon
Johanne Verdon a pour mission (réussie dois-je ajouter) de transformer les coeurs brisés en oiseaux de libertés.
Suite à notre proposition d'afficher des bannières flottantes sur YogaPartout, le site web que j'ai humblement aidé à lancer, le temps que j'ai pu, j'ai demandé à cette entreprise en soin naturopathique d'appuyer notre OBNL. Cette entreprise diffuse de la musique douce pour nos oreilles: l'JohanneVerdonMedia.net
Bonjour à vous qui aspirez au bien-être par la voie du yoga. C'est avec de la fébrilité que nous lançons une campagne en socio financement. Voici pourquoi.
Le DAO (en anglais: Decentralized Autonomous Organisation)
L'idée globale de YogaPartout est de promouvoir le bien-être par la voie du yoga. Cette campagne, ce cri provenant du fond du coeur est un appel à l'union des personnes. Cette ambitieuse représentation web du yoga en français qu'est yogapartout sera, grâce à votre générosité, en anglais, autonome et dirigé par celles et ceux qui l'utilisent.
Il n'y a pas, de ce que nous connaissons dans le monde du yoga intelligent, d'organisation qui permet à des étudiants sérieux de trouver des professeurs d'expériences, qualifiés sans crainte de se faire entourloupés. Ce phénomène des sectes qui tente par tous les moyens de convaincre les jeunes qui vivent un échec (scolaire, amoureux, familial, social, spirituel) de se joindre à une cause purement égocentrique sans fondement continue de faire des ravages dans notre société contemporaine.
Rappel des règles de conduite des professeurs: yamas et niyamas
Le propre du yoga, ses racines ancestrales, veut que l'enseignant-e communique la liberté absolu. Les étudiants ne doivent en aucun temps se sentir otages. La liberté est le premier signe de sagesse qui se manifeste chez les yogis. Alors, pourquoi certains groupes tentent d’endoctriner leurs sujets directement ou de façon subliminale? Les yamas * et les niyamas * sont les mots sanscrits qui touchent cette thématique. Si ces principes fondamentaux ne sont pas au rendez-vous, prudence!
Cette campagne de levée de fond sert à plusieurs choses. La principale raison est que notre plateforme se doit d'être refaite au complet. Ceci afin de tenir compte des nouvelles avancées technologiques tel:
La structure qui tient toutes nos données est passée date et commence à mal se comporter
Des nouvelles fonctionnalités sont apparus et d'autres ont disparus. Plusieurs anomalies sont apparus depuis notre dernière itération
Le modèle de gestion du contenu du magazine Satoshi.Yoga ne réponds pas aux rotations de professeurs et auteurs qui s'expriment sur cette plateforme. Le modèle doit être repensé du tout au tout. Voici quelques désavantages observés:
Les redevances sont difficiles à comptabiliser
Le système de retour vers les professeurs pour qu'ils puissent être vus publiquement manque à l'appel
Le problème de retrouver sur l'espace public des articles, ou du moins une partie de ceux-ci, les écrits de notre groupe d'auteurs. Faisons voir nos auteurs!
Après tout, sans leurs écrits, yogapartout ne serait pas ce qu'il est.
L'aspect multilingue n'est plus un luxe, c'est une nécessitée.
Avec la venue de la BlockChain, ce ne sera plus possible d'être usurpée, de prétendre et de tricher. La survie de YogaPartout et maintenant Satoshi.Yoga en dépend. On embarque et encourage 'L'échange'.
Etc
A propos de l'adoption de cette espace économique
Vous pouvez déjà visiter notre nouveau site multilingue... en constante évolution
Nous avons comme objectif de lancer notre propre système transactionnel de monnaie numérique sous forme de jetons de récompenses échangeables. Notre jeton est déjà créé, il s'agit du jToshiYog. Nous souhaitons que ce 'Token' soit intégré dans la blockchain et permettre à la relève de gagner de la notoriété. Ces jetons collectionnés ou simplement reçus ont de la valeur et cette valeur vaut son pesant d'or.
Donnez - collaborez - échangez
Voici notre modus operandi: Redonnez, redonnez, redonnez.
Notre objectif consiste à recevoir des cadeaux pour ensuite les repasser aux yogis-yoginis dans le besoin. Des objets sont mis à l'enchère. Les services virtuels servent quant à eux à donner en retour des contributions reçus. Bien qu'on puisse croire qu'il y a un lien directe entre les objets reçus et l'argent de la vente de ces objets, il en est tout autrement.
Donnez, donnez, donnez. Et merci à l'avance.
Cette campagne de sociofinancement, votre contribution volontaire, nous permettra de recevoir physiquement ou virtuellement vos objets de valeurs pour ensuite les redonner aux suivants via celles et ceux qui en expriment l'intérêt.
Donnez, donnez, donnez. Et merci à l'avance.
Contribuez ce que vous pouvez via notre interface de don volontaire
Ici et maintenant, voilà ce que cette interface ci-dessous vous permet d'accomplir
Les Termes d'utilisations pour cette campagne en socio financement
En 2009, j'avais pensé, naïvement, qu'en allant sur le web, je pourrais faire un film
Voici mon histoire en noir et blanc
Pourquoi
Pourquoi faire un film sur le yoga alors qu’il y en a une panoplie? Cette première question reste entière pour l’auteur.
Un titre de travail
WikiYoga: Le film, c'est ainsi que j'avais débuté cette initiative, c'est tout. Une simple manifestation de ce qui était potentiellement réalisable.
En 1977, lorsque j’eus terminé ma formation en production cinématographique, j’aspirais, comme tous les jeunes, à faire une carrière prometteuse.
Je ressentais un appel pour sauver le monde et être utile dans la société. Je me disais intérieurement « lorsqu’on aide les autres, on se sent utile »
Et, d’un certain point de vue, lorsque nous sommes utiles, c’est toute la société qui en bénéficie puisque de personne à personne, ça finit par ressembler à l’émission télévisée « Donnez au suivant ».
À ma sortie du collège technique, la vie me semblait généreuse et la loi de l’attraction semblait fonctionner pour moi.
En effet, j’avais présenté un projet à l’Office National du Film (ONF) : « Votre enfant entend / Your Child Can Hear » et la phase de recherche et scénarisation avait été acceptée auprès de «Régionalisation Ontario ».
Parallèlement, je pratiquais la méditation et je m’intéressais à l’aspect spirituel de la vie (en fait, mes intérêts dans ce domaine remonte à l’âge de 10-11 ans).
Ma mission de vie s’est imprégnée ainsi en mon for intérieur bien avant de pratiquer la méditation; "aider les autres et être utile faisait partie de mes valeurs et de mon mode de vie".
À l’âge de l’adolescence, je constatais que les « hippies » m’acceptaient tel que j’étais et, sans en être conscient, estompaient ainsi ma peur de la violence. .
Ce monde du « Peace and Love » contemporain me convenait parfaitement. Les amis que je côtoyais m’acceptaient et l’accent pointait mes qualités plus que mes difficultés (dyslexie, problèmes d’attention, difficulté d’apprentissage à l’école, etc.) . Quant à mes parents, ils se disaient à eux-mêmes que j’étais un enfant si sensible, un enfant pas comme les autres ...
Avec mon premier contrat décroché auprès de l’ONF en poche, je me voyais déjà ( Sur Youtube:-1- ) au sommet des têtes d’affiches. Après tout, mon projet avait reçu l’appui de l’Hôpital pour enfants de l’Est de l’Ontario ( $5,000 ) et l’ONF m’avait engagé comme pigiste!
100% spirituel et 1 % apprentissage de la vie
Toute cette expérience dura un peu moins de cinq ans.
À travers ces expériences, j’ai vécu des rejets et j’ai appris beaucoup de choses sur le comportement humain (jalousie, compétitions).
J’ai fait de nombreuses erreurs qui m’ont fait vivre des frustrations profondes, de la colère, des désappointements, de la tristesse et de l’impuissance.
Je me suis aperçu que je travaillais ardemment et que même si je déployais plus d’efforts que mes collègues, je réussissais moins bien. Cet état de faits m’a apporté mon lot de frustrations et de colère…Bref, vous pouvez vous imaginer que j’en ai bavé un coup à cette époque-là.
En 1980, produire un film coûtait environ $80,000 .
Le soutien de l’Office National du Film était intéressant; on m’offrait un encadrement et des services mais, pas le soutien financier dont j’avais besoin pour compléter mon film..
Pour le reste, je devais trouver des fonds.
Trois ans plus tard, je décidai de faire une campagne de financement pour remédier à la cause en m’impliquant avec une association locale à but non lucratif. Fait intéressant, je réussis à récolter quelques milliers de dollars additionnels.
La loi de l’attention
Je versais donc l’argent reçu à cette association locale qui m’appuyait dans ma démarche. Ce n’était toujours pas suffisant. En 1982, après cinq ans de travail acharné le projet était si présent dans mes pensées que je ne faisais que m’occuper de cette production à temps plein. Des idées me venaient en rêve et le jour je les exécutais. Toutefois, j’étais sans source de revenu. Sans emploi, ce projet devait aboutir.
Je me retrouvais donc sans le sous puisque les fonds recueillis allaient directement à la cause. Même si je n’avais pas de source de revenu, j’étais occupé comme dix. Le projet n’aboutissait pas. Toutes les portes s’étaient fermées devant moi et je ne voulais pas reculer d’un pas car je sentais (feeling) que j’étais près de la réalisation de l’œuvre. Je croyais et je savais au plus profond de moi que ce film verrait le jour.
Parallèlement, toujours du côté de la spiritualité, je me réfugiais dans le spirituel. J’avais développé une sorte de sérénité malgré l’adversité.
Toute la puissance de l’Univers
Je croyais dur fer que mon rêve se réaliserait puisque mes intentions étaient pures. Chaque refus, chaque échec que je vivais me faisait croire que ce n’était qu’un obstacle qui me permettrait d’atteindre mon but, celui d’aider les autres. Ma mission de vie. Ma grande sensibilité s’était aiguisée au point tel que je savais maintenant « lire les autres ». J’avais développé des dons spirituels tel voir l’aura, ressentir ce que les autres pensent et comprendre les enjeux individuels des personnes à l’état brut, sans jamais utiliser ces dons à mauvais escient. La loi de la résonance faisait en sorte que j’acceptais les gens et les évènements sans être vraiment perturbé. Par contre, mon corps et mon Ego était perforé d’échecs. Je me disais que cela faisait grandir intérieurement à un niveau tel que j’observais la douleur. C’était supportable.
Puis vint le pire. Jeudi le 23 septembre 82, alors que j’étais chez-moi, désespéré et quand même confiant, on cogna à ma porte. Une dame de l’Association à but non lucratif voulait me parler du projet. Leur conseil d’administration s’était rencontré et ils avaient décidés de ne plus s’associer avec moi. J’étais sans le sous et on m’offrait cinq cents dollars. Je ne voulais pas prendre de cet argent, elle était dédié à produire le film. Sauf que leur conseil administratif en avait décidé autrement. Ils désiraient et avaient l’intention de continuer à poursuivre ce dossier…. sans moi.
Cette journée là, je m’en souviens. Ce fut une désolation complète. J’étais congédié, rejeté de tout bord, tout côté. Mon cœur et mon plexus était tellement douloureux que j’en pleurais. Cela faisait mal. Après toutes ces années, je me voyais sans raison de vivre. La déchirure de mon Égo fut marquée de larmes et de colère… envers Dieu lui-même. Par chance que j’avais une vie spirituelle.
Le message était clair. Je devais vivre ce deuil et passer à autre chose. C’est alors que dans la nuit de jeudi à vendredi, je fis un autre rêve. Cette fois-ci je sublimais, souhaitais et ressentait l’urgence de dire à Dieu la chose suivante : Faites, même si je ne m’occupe plus de cette cause, que le film soit réalisé et distribué.
La vie qui nous fait comprendre des choses
Je devais réellement abandonner mon rêve de faire du cinéma et faire confiance en la force de la vie, en Dieu, en ma puissance supérieure, sinon je tomberai dans une dépression encore plus profonde, pathologique. Plusieurs mois plus tard, le souhait que j’avais formulé se réalisa. Dans ma boîte à lettre, se trouvait une vidéo cassette de mon film. Depuis ce jour, je n’ai plus mis Dieu au défi puisque cette manifestation était la preuve tangible que tout est possible lorsqu’on applique les lois de l’attraction, de l’attention et de la résonance. Je comprends que je suis ici sur terre pour réaliser certains désirs ancrés dans le passé. Il est donc possible que mon choix de faire un film sur le yoga remonte à cette époque turbulente des années quatre-vingt. Le choix m’est éternellement présenté : Revenir en arrière, dormir ou me détacher et aller plus loin, au-delà de l’emprise des lois karmiques. Je suis conscient d’avoir choisi mes parents et je sais que le paradis n’est pas éternel. Je sais aussi que lorsqu’on s’aide soi-même, le ciel nous assiste pour obtenir la libération.
De nos jours, les barrières financières (je ne crois pas que ce soit l’argent qui était l’obstacle réel de ma quête des années quatre-vingt) pour réaliser un film sont minimes, comparativement aux contraintes d’avant. Le fait de commettre une œuvre dépend un peu moins du contrôle décisionnel des autres. Plutôt, je devrais dire que de nos jours, lorsqu’on veut faire un film à compte d’auteur, il est plus facile de créer du contenu de qualité et être distribué sur la planète entière à très peu de frais que ce l’était il y a trente ans. Dans les années 80, alors que toutes les portes se fermaient devant moi lorsque je voulais produire mon documentaire pour « sauver » les enfants sourds, je me suis dit qu’un jour je retournerai explorer cet univers médiatique. J’ai tellement vécu un rejet profond à l’époque ou je voulais "vivre" de cinéma, qu’aujourd’hui je me sens un peu plus prêt. Ce n’est pas la cause qui détermine l’effet. Un peu plus prêt à accepter qu’il y a des lois sur cette terre qui font qu’on ne peut pas obtenir ce que l’on désire à moins d’avoir une conscience pure. Plus la conscience est pure, plus rapide les évènements se réalisent. Un peu plus prêt à surmonter les vicissitudes. Les lois karmiques sont enracinées et pas prête de disparaître. Un peu plus prêt à reconnaître les signes de la douleur avant qu’ils ne deviennent souffrance.
Je me souviens qu’en 82 lorsque je pratiquais le yoga et la méditation, je vivais toute sorte de leçons de vies. Je prenais conscience que je devais, et doit encore, prendre bien soin de moi, de ma personne (sommeil, alimentation, loisir) avant de croire que je peux, avec une caméra, sauver le monde. C’est donc avec une humilité acquise avec douleur que je vous présente ce documentaire : Le _nouveau_ Yoga. En quelque sorte, il représente symboliquement ce que je voulais faire en 1982, sauf que le sujet en est tout autre.
Ce DVD ce veut le reflet d’une réflexion individuelle sur le sujet de la spiritualité. Mieux encore, il laisse la place à la découverte, à l’intériorisation, à l’expression spirituelle. Ce film représente aussi un hommage à mes maîtres, celles et ceux qui ont bien accepté de se prêter au jeu du cinéma documentaire. Il est aussi dédié à toutes les personnes que j’ai croisées durant ma vie qui ont été une entrave aux choses que je voulais réaliser. Ces personnes m’ont permis de vivres des éveils importants.
Je souhaite qu’au visionnement de cette histoire vous pouvez vous retrouver un peu. De découvrir que même si notre parcours de vie semble « simplet », sans exploit, sans étincelles, la découverte du monde intérieur recèle une richesse plus grande encore que ce que nos yeux et notre corps peut voir et expérimenter. Au début, avant de me rendre compte que je vivais des éveils (si petit et si grand en même temps soit-ils) à répétition lorsque je subissais des échecs, que je grandissais lorsqu’une brique me tombait sur la tête (perte d’une amie de cœur, congédiements, non-reconnaissance, promotions loupés, déménagement, échec à l’école, etc.) ça faisait mal et j’ai appris à me taire, à encaisser la douleur.
Je ne suis pas un être humain qui vit une expérience spirituelle. Je suis un être spirituel qui vit une expérience humaine
Aujourd’hui, alors que je suis un peu moins aveugle et que ma vie intérieure prend un peu plus de place, lorsque je reçois une brique sur la tête, ça fait encore mal et je continue toujours d’apprendre (en silence, en méditation) , j’encaisse la douleur. Sauf qu’il y a une petite différence qui distingue l’aujourd’hui d’hier. J’en suis venu à croire, comprendre, intégrer et vivre plein de petites choses comme celle-ci :
La douleur est inévitable alors que la souffrance est optionnelle. Ça ne fait pas moins mal qu’avant. En fait c’est même plus douloureux et plus long à cicatriser qu’avant les éveils. Seulement, le vécu, la transcendance du temps et de l’espace, la perception de l’invisible collabore à une vue subjective qui va au-delà de l’Égo, du petit moi.
Ce film explore donc ces subtilités et met en lumière les sons, la couleur et l’expression des sentiments (feeling). Par exemple le don de soi. Bien qu’il veuille faire la démonstration de l’impact du subjectif sur l’objectif, de l’absolu sur le relatif, de l’inconscient sur la conscience consciente, il demeure d’abord et avant tout réaliste et accessible à tous. Il veut, par les témoignages recueillis des invités, inspirer les spectateurs à bouger, à agir.
Le yoga n'est pas la solution, c'est une solution disais ma maman
L’urgence de vouloir transformer sa propre vie se manifeste par des petites choses, des gestes simples et combien révélateurs.
Parallèlement, ou plutôt, tout en se souvenant qu’il s’agit ici d’un documentaire qui rapporte des faits, des gestes et des paroles. La clé ultime se situe sur Qui est la personne interviewé? Comment l’absolu se manifeste t’il en lui/elle? Au-delà de sa réputation, quel chemin, quelle aventure personnelle vit-il, vit elle?
Vous êtes donc invité à pénétrer au cœur de l’existence, au sein de l’éveil vers le don de soi au quotidien et ainsi découvrir des personnes remarquables.
Ma réflexion au sujet des NFT - My thoughts about NFTs (text in english bellow)
Cette courte introduction en français mène vers un texte plus étoffé rédigé en anglais plus bas. Pourquoi rédiger ce texte en anglais? Simple. Les statistiques au sujet des lectrices et lecteurs sur YogaPartout montre que plus de la moitié des personnes inscrites sur ce site sont parfaitement bilingues.
Première question
Que se passe t'il si vous achetez une planche NFT fabriqué par YogaPartout?
Si vous achetez une planche NFT de YogaPartout, dans un premier temps, vous pouvez la revendre. Parce-qu'elle devient vôtre, vous pouvez soit conserver l'objet (cet objet vous appartient), soit remettre l'oeuvre en circulation libre.
En effet, si vous achetez un NFT fabriqué par YogaPartout, vous encouragez cette communauté et l'auteur de cette oeuvre puisque des redevances (20%) sont versés à l'auteur ou aux auteurs selon le cas. A toutes les fois qu'il y a une transaction de ce ou ces NFT, toutes les personnes qui ont collaborés créativement ou financièrement touchent une redevance. Vous pouvez suivre l'évolution du combien l'objet a été payé et qui est le propriétaire final sur la Blockchain. Lisez cet article qui a paru sur Radio-Canada qui explique le concept.
Que fait YogaPartout avec ces planches
Nous nous servons de ces ventes comme méthode de sociofinacement
Ce que nous faisons, ici même via ce site collaboratif? Nous assistons nos membres à comprendre et utiliser judicieusement cette nouvelle technologie.
Les auteurs sont souverains
Les auteurs sont propriétaires, finalement ils peuvent prouver que ce sont eux les vrais auteurs
Les droits d'auteurs sont respectés, protégés
Nous observons en ce moment une ruée d'intérêt à créer ce genre d’œuvre artistique. Le même phénomène est observé dans le domaine des jeux en ligne. La recrudescence de créations d'objets dit "'Jeton non fongible (Non-fungible token en anglais)'' est sans équivoque le début d'un temps nouveau. Voici ce que Wikipedia nous dit au sujet de ces objets artistiques et l'énoncé de Daniel, le co-fondateur de ce site.
Un jeton non fongible, est un type spécial de jeton cryptographique qui représente quelque chose d'unique; les jetons non fongibles ne sont donc pas interchangeables. Cela contraste avec les crypto-monnaies comme le bitcoin et de nombreux utility token qui sont fongibles par nature.
C'est donc avec enthousiasme et reconnaissance que nous remercions Baudouin localisé en Belgique pour ses dons visuels, ses textes et sa patience à aider YogaPartout à devenir ce que YogaPartout est aujourd'hui. Il a aussi permis et encouragé la publication du magazine Satothi.Yoga.
Cette première collection sert aussi a inspirer d'autres artistes à protéger leurs actifs puisque les NFT sont nés, leur engouement grandit avec le temps, ils sont là pour rester
-Daniel
Merci.
Suite de cet article intitulé "Ma réflexion au sujet des NFT"... en anglais.
Here comes the English explanation about this NFT beginning here on YogaPartout.
My NFT Story
I started to be interested in the Blockchain economy via the Bitcoin Embassy in Montreal, Canada. Always so attracted to web innovation. The presentation sold me the idea about the Blockchain, not the Bitcoin itself. They explained how this ecosystem was there to stay, that it would replace our conventional monetary system. The presenters talked about Satoshi, a man or pseudo group that produced a use case explaining the Blockchain and a currency named Bitcoin, an open algorithm that reproduced itself like a miner who works to discover a nugget of Gold. They said that anyone who wished to use their algorithm could. The internet crypto currency developers (I’m in favour of thinking that Satoshi is not one person) who wanted to create a currency that banks could not control was available at the price of 300$ Canadian (back in 2014). They said that this currency was transparent, meaning that the authors of an NFT object can be found, there is a trace of the transaction over the internet. The rest is history.
While following the evolution of this ecosystem (I’m lacking vocabulary here, ecosystem may not be a good descriptive), I was developing my yoga web site (tks to my encounter with Marc Laporte, a project admin for Tiki.org and got to specialize in mail order distribution of a magazine I imported from France. I became the North American distributor of that specialized yoga magazine namely Le Journal du Yoga. The advantage to developing this niche where I was mailing every month that yoga magazine was that I could, at the same time, communicate my yogapartout community services. I was creating, doing podcasts interviews, all of what I learned and applied via the Tiki Community first as I got an instance of this Open Source Software named tiki.org installed with my domain name. The choice for using the Tiki Wiki Groupware Content System (Tiki CMS) was easy to make. It took me a while to get it installed by one volunteer (tks to Rodrigo ) yet, the choice of this Open Source Content Management System was inspired by one of my idol in internet community, Mr. Don Tapscott author, today, of 16 books and currently Co-Founder & Executive Chairman of the Blockchain Research Institute.
Yet, a lot of uncertainties prevailed. Since 2008, I produced numerous social media exercises. Mostly, I specialised in doing podcasts and the interest back then was not what it is today.
It was and I still see the interest in yoga going down in popularity. In fact, I am frustrated to see that the yoga interviews I made all around the world since 2008 are under valued. I mean here the “perceived value”, the interest and the revenues are important values to be considered. And that value is underestimated. The yoga community has not seen YogaPartout the way I thought they would; a repository of the yoga knowledge. If at least it was profitable, considered as a rare and precious knowledge base, transferable, exchangeable. I thought and still believe the creative content created in co-ownership was going to be recognised… and it isn’t. My thought was that the content I created could be purchased, re-sold, that it can change hands as listeners would share a piece of wisdom, like a “thumbs up” we see on other social media ecosystems. In short, I wanted to believe the interviews I made, the ownership could be shared, sold over and over again. I said to my self, it would create happiness. No, the current business model of ‘build it and they will come’ doesn’t work… until I discovered Non Fungible Tokens one can produce via the Ethereum ecosystem and also available on the EOS Block One network.
NFT, IMOO could be located into the Tiki Infrastructure
Like this draft here bellow
Then birth of the the Non fungible Tokens (NFT) was in 2015 on the Ethereum blockchain ecosystem. More recently it made the news all over the world when a man named Beeple sold via the auction house Cristie’s one NFT at 69.3 million US dollars. Announcements all over the world took lots of space. That was the sign I was waiting for. The crypto blockchain community had developed a simplified system, available to anyone, without having to understand how and what made these NFT valuable. For free or a fraction of few dollars, one can create a digital art piece and sell it. Eureka. finally, the world recognized for the first time in history the creativity artists put into their work. Artists can be paid for their true value. Parallelly, my studies in the yoga field and the interviews I performed (well over one hundred podcast recordings counted in 2019) made me understand that yoga is an art. My thinking process saw similarities between yoga perceived as an art and the blockchain via the NFT movement as an art too.
Some yoga teachers I met would argue that yoga is a science, yet not enough scientific studies have been made to this day to prove the benefits of this ancient practice... it is still, and it remains an art. In addition to this observation, my plan to gather French speaking yoga teachers around one platform, the Tiki CMS system kept failing repeatedly, it costed me less than if I had chosen a proprietary web solution, yet it still costed me a lot to keep the solution up to date with technology advancement.
I was and am really fed up to miss target. Failing is very frustrating.
I got resilient I suppose, or I am dummy, and I do not read the signs correctly.
Did I adopt this Tiki technology by mistake, after ten years of trials and failures?
I knew, back in 2021-2022 that I had to shift dramatically, change my business model if I wanted to succeed to create a community that would be self sufficient, generating revenue from the content created into that community and ensure its longevity.
So I launched a Crowdfunding campaign using the block chain for investors to risk some of their money and help the YogaPartout community diversify in other languages shifting via the new identity named Satoshi Yoga
I saw in the blockchain an answer to all the problems I have experienced since YogaPartout's inception. the obstacles I've had over and over again disappeared in my mental space. This was a good sign. Even if the Yoga Community I started in 2008 grew and generated revenues to pay for basic expenditures, YogaPartout was not accepted by the yoga community at large, let alone to make a real impact, this was the identified real and deep problem__ and with the Blockchain these problems could be over turned.
Today
Since 2008, I have been resisting to sell products online, offer services and ask for direct payments.
I still do not offer online yoga courses and will not. The live human one to one transmission process can not, yet anyway, be transmitted virtually. I got Stripe installed, I’m using PayPal, SquareUp and local banking services as options for my clients, friends, and partners to transfer me their payments. Most of my clients are donating small additional amounts along their subscription’s annual fees for the magazine I distribute in North America as they recognize the value of being referenced via the SEO services, I offer them, that is the most I get to ask and receive positive responses. Yet, this is not enough to be able to create a community that adopts the wiki way of doing things, specially in the yoga world. Recently, I acquired a new domain name: Satoshi.Yoga and announced my entry in the NFT scene. One yoga professor, Baudouin Legrand, also a jurist, located in Belgium accepted that we use his visuals to create a series of instructional/creative yoga postures to entice the members in the community to embark in the NFT direction. After hours of work with this teacher and the help of volunteer Étiennette Gagnon, we managed to launch a series of NFT demo pics. Yet, I do say that this is not good enough. To be in the “connected blockchain world” one need to have a real node, not a fake one.
To learn about the blockchain and it’s potential use, one need to be learning.
I learned that there are different ecosystems.
The Bitcoin space consumes a lot of energy.
It is said it consumes 80 terawatt-hours of electricity annually. For a year, the Boston University calculated it takes the equivalent of 385 ships of energy used by mining bitcoin of AA alkaline long-life batteries. This means: 84,594,077,568 kWh ( https://qz.com/2023032/how-much-energy-does-bitcoin-use )
What is an NFT
Often described as a way to tracking ownership of a unique digital asset, an NFT is ultimately just a bunch of text: a unique string of characters called a token when grouped and tracked on a blockchain, usally the Ethereum blockhain.
The main complaint about the Blockchain follows NFT’s even if these tokens are not in the same ecosystem is that data mining generates a sizable portion of energy expenditure in the NFT industry. Recently, Elon Musk explained Bitcoin's plans for using renewable energy. Musk presented a goal of mining with 50% renewable energy. NFTs can also utilize clean power, significantly reducing their environmental impact.
- Source: UK energy hub
EOS.IO was introduced to me by a crypto fanatic who sold me the idea that Block One offes the most likely best future for our planet. Here are the characteristics I found
It is fast
Block.One launched a community named Voice so that they stay in the social media game and at the same time offer to produce NFT’s for free.
Their mark up is 20% which is a steep price, yet it is free to use, free to produce NFTs and unlimited to its use as compared to other NFT plateform hosting EOS.
What about the operating system sustaining this NFT: EOS.IO
EOS is a development platform for decentralized applications (dApps), which looks close to an operating system, as it emulates a real computer: hardware (CPU + GPU) for processing, memory (local/ RAM/ HDD) for storage and software, distributed equally among EOS holders.
They to organize events in many cities arourd the world
At the time of publishing this article (dec 2021), I read that they have a 700 thousand member registered, they produced 46 million blocks and their OS does 3,900 operations per second. Finally, they have four sister’s chains: Telos, Worlbli, Bos and MeetOne.
The EOS community elect a board of directors by referendum. They are involved in the the Eden EOS organisation. Eden is mostly a watch dog sort of speaking. They do look after marketing, making sure the players in the EOS ecosystem are fairly treated, you and I can run for administration if we want to.
Conclusion about my pick of NFT development plateform
In summary because the subject is so vast, here is a url found on Medium that explains best the EOS solution why I love the EOS solutions.
Back to basics: WHY did I do with all this knowledge
As mentioned, a little bit above this desiderata, not only I educated myself about NFTs, the blockchain and its future potential, I also got my own token created. In fact, my token is a Foobar that is not connected for real into the Blockchain.
I certainly wish Tiki.org would develop a token
To test the interest in my yoga community, I helped yoga teacher Baudouin Legrand to post 18 yoga postures which, with his permission are meant to be going for sale on the Blockchain by lieu of NFT. Here are the ursls of this NFT prod exercise. It is placed on the Voice.com plateform as explained above, my pick in the crowd of NFT communities.
After this exercise of creating my own token, sort of speaking, I got the token to be valued at the price tag of one million units. The [https://yogapartout.com/Yoga ToshiYog Token page.
Here is the info about my Token
All the details about my token on the block chain can be found via my Yoga ToshiYog Token page. Specifically, you can see the fluctuation of this token at this location using this tool, the Bitcoin Cash Simple Ledger
I knew you would ask, here it is. I looked for it and at the time of publishing, I could not find it standing alone. However, bellow this article, you will see where I'm hanging on.
Where can you find me
These days, I'm hanging around these communities. You'll this video on YouTuberecognize, in one of these visuals, my Toshi Yog Token representation
What can tiki.org need to be interested in NFTs?
I believe the tiki as a whole can benefit by building a tool for artists to be able to create a collection of objects, thousands of NFTs without coding Knowledge.
That can thereafter be put out there to show what Tiki can do for artists. I beleive there should be a directory integrated in the Tiki.org infrastructure so that new interested users can see themselves fit into the community.
I found this YouTube that shows what can be done in this direction. Se this reference: "How To Create An entire NFT Collection (10,000+) In Under 1 Hour Without Coding Knowledge" via this video on YouTube.
(Sur Une vie de rêve )
Je me suis fait chicané hier... par la vie... par un des prof que j'ai interviewé dans le cadre du projet de documentaire sur lequel je travaille. Il n'y a pas beaucoup de personnes qui savent que je n'ai pas désespéré et que je continue, bon homme allant, à fignoler ce projet. En voici un aperçu, la prémisse, le desiderata du début qui a été écrit le 10 mai 2009 et que j'ai migré (rapidement, je l'admets) pour inviter plein de profs de yoga au cœur généreux à accepter de me rencontrer, caméra avec moi pour filmer.
Le documentaire sur le yoga - Les archives du Blogue
(Sur Une vie de rêve )
Le projet de documentaire sur lequel je travaille
Vive la Co-création
Mon histoire est des plus banale. J'espère que vous êtes bien éveillé car j'ai une vie monotone et ce qui suit n'est pas un conte de fée. Il n'y a pas de début, pas de fin, simplement une continuité de qui je suis et ce à quoi j'aspire.
Par contre, l’histoire derrière la production de ce documentaire sur le yoga au Québec qui parle de vous, ça c’est passionnant. Entendre parler de l’Être, c’est captivant. C’est un conte qui commence ainsi : Il était une fois… de la noirceur vers la lumière, de l’ignorance vers la connaissance…. (Asato Maa Sat Gamaya)
Objectifs
(Sur Une vie de rêve )
La loi de l'attraction: Ce qu'on pense, on l'attire.
La loi de l'attention: Ce vers quoi on dirige notre pensée, on l'obtient.
La loi de l'acceptation: Peu importe le résultat, c'est OK (résilience)
Le YogaThon de LEUCAN
(Sur Une vie de rêve )
Je suis fier d'avoir choisi de donner de mon temps à fabriquer cette petite capsule d'invitation. Kudos à Gaëlle Cosnuau de YogaPourTous et Diane Ouimet de Ô-Yoga.
Convergences et beautés du monde: Yog La vie
(Sur Une vie de rêve )
On parle de convergence ici. On parle de convergence là. On dirait que c'est temps-ci, il n'y en a que pour la convergence. Au fait, qu'est-ce que la convergence? Ce billet touche, frôle ce sujet: Les convergences. Puis, il parle aussi de beauté, de découverte. Je vous invite à réfléchir sur la réalité nouvelle qu'est internet.Tout ça, on le trouve sur Yog' La vie!
La convergence dite spirituelle est le recoupement et regroupement de plusieurs idées provenant de plusieurs sources qui se rejoignent.
Par exemple le yoga converge vers l'état d'union de la personne, le bouddhisme aussi.
Ainsi, on parle de convergence des idées en général, et lorsque ces coïncidences se recoupent plusieurs fois, il y a convergence spirituelle.
Une définition du dictionnaire? Non, la mienne. Pour moi, être auto-suffisant signifie d’être en mesure d’exister, de fonctionner, d’être capable de vivre ma vie de façon autonome. L’autonomie des sens, tout particulièrement de la respiration. Car même si de l’extérieur une personne peut paraître dépendante, elle peut très bien être autosuffisante dans toute sa plénitude.
Tout comme on entend dire que pour aimer il faut s’aimer soi-même, je vois la comparaison suivante acceptable : Pour pouvoir exister, fonctionner, vivre sa vie afin de donner, aider, partager, échanger, il faut être autosuffisant.
Je me considère une personne autosuffisante intérieurement et dépendante au niveau matériel, physique et relatif. Mon petit « je » a besoin de travailler, de gagner sa vie pour conserver son autonomie. J’ai besoin de mon corps et de mes membres pour bouger et me déplacer. Sauf que je pourrai cesser de travailler, ne plus être en mesure de bouger et ne plus être capable d’aller nulle part et continuer d’être autosuffisant!
Je l’avoue, je suis jaloux. On entend parler que des personnes super intelligentes vivent le Samadhi à longueur de journées. Eckart Tolle et Jill Bolte Taylor la chirurgienne du cerveau sont les deux qui me viennent en tête. Comme si l’illumination appartenait aux plus doués, que nous, les simples citoyens n’avons pas accès à l’utopie ultime qu’est l’ « éveil ». Que devons nous faire pour parvenir à la béatitude?
Puis, on dirait que ce sont toujours les autres qui sont « heureux »! « Qu’elle a l’air bien dans sa peau. Ça se voit qu’elle est en santé, elle rayonne, elle est présente, elle dégage. Elle a du charisme quoi! » Argh… La science ne sait pas encore comment le bonheur fonctionne chez-nous les homos sapiens. Comme dit le psychologue Jean Garneau : « Nous cherchons tous à être heureux, pourtant nous atteignons rarement le bonheur. »-1- Certains essaient de comprendre nos états de consciences supérieurs, l’existence de l’âme, le cerveau dit mystique! Je pense ici au docteur Mario Beauregard de l’Université de Montréal -2- ) D’autres nous disent que nous sommes à l’ère du verseau, que l’an 2012 approche à grand pas et que nous vivront tous la conscience cosmique… bientôt! Chose certaine, l’intérêt de comprendre l’humain dans sa totalité, de cerner la vérité sur qui nous sommes devient une quête de plus en plus ardente. Où se trouve donc la lumière au bout du tunnel? Comment être bien dans sa peau, se libérer des émotions qui nous empêchent d’être authentique et de ne pas vivre ces fichus de résistances corporelles?
Maman, réveille-moi quand j’aurai faim? »
« Mon enfant, la faim te réveillera bien toute seule »
disait Ramakrisna.
La crise EgoYogique
(Sur Une vie de rêve )
Les marchés économiques sont déboussolés. Notre corps ne vit pas dans le portail de la lumière. La récession frappe ici et là, comme s’il n’y avait plus d’ordre intelligent qui régit l’humanité.
Avez-vous remarqué que depuis quelques mois (on dirait que ça fait des années!), notre Ego est littéralement attaqué avec ce que nous entendons, lisons et vivons au sujet de la crise économique?
Les deux yeux fermés ben dur!
(Sur Une vie de rêve )
J'aime pas ma job. Par contre j'adore mon emploi! Pour moi, une job c'est une obligation alors qu'un emploi, c'est un travail valorisant qui est utile pour plein de choses. Une job c'est ce qu'on fait en attendant qu'on se trouve une "vrai" job. Un emploi, un travail, c'est fait pour apprendre la vie et s'éveiller en donnant à l'autre. Puis, après des années... on fini en burn-out!
Une étude effectué par mesdames Maslach et Jackson ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Burn-out#.C3.89tude_de_Christina_Maslach_et_Susan_Jackson ) sur le burn-out montre que l'épuisement émotionnel est à la source des bien des maux. L'épuisement professionnel est encore de nos jours très mal vu au sein de notre société. le sujet est TABOU. C'est peut-être ce facteur qui aggrave la situation? Car on dit souvent que la première chose à faire lorsqu'on est en burn-out, c'est d'accepter la situation tel qu'elle est sans chercher à fuir. N'est-ce pas une situation paradoxale? Le tout revient à la responsabilité personnelle. Pourtant, le travail fait parti de la vie... même en yoga.
Soyons social !
(Sur Une vie de rêve )
J’ai 152 contacts sur Facebook!. Je les ai comptés, juste pour être certain qu’ils sont encore mes amis!
En fait, je suis très populaire depuis la venue du média-social. J’ai une vie spirituelle, virtuelle et sociale très évolué: Linkedin, MySpace, Twitter, YouTube, MonCanoe, Gaiam, Wikipedia, Flicker et j’en passe. De plus, je modère 12 blogues. Oui, oui, j’ai des fils RSS! Cherchez-moi et vous me trouverez sur internet car c’est sur ce média que ma vie spiri-sociale se déroule!