Ayons Confiance - un peu de Kapalabhati (pranayama - respiration) avec Marjarysana (chat) et Bitilsana (chien) et tout ira mieux
2019 - Des défis pour le moins qu'on puisse dire
Une année qui a créé des étincelles de doutes
Pour des raisons évidentes, ce n'est plus possible de ne pas parler de la mauvaise presse que le yoga a subie en 2019. Sans nommer de noms, sans nommer d'évènements, c'est grâce à la sagesse de Sw Ujayananda que Yoga Partout peut partager avec vous les paroles de sagesses de Mme De Gasket. Nous avons demandé à plusieurs d'entrevous la même question:
Est-ce que Yoga Partout devrai revenir sur ce sujet?
Vous avez répondu comme des bons yogis:oui et/ou non
Voici le texte qui a bien fait réfléchir sans tomber dans la plaie ouverte
De nombreux dangers mal identifiés
On pense qu’il suffit d’être souple – du coup on l’est souvent trop (hyperlaxe) pour les filles - d’avoir quelques muscles bien dessinés pour les garçons... pour penser être "fait" pour enseigner le yoga, une activité d’ailleurs lucrative en ces temps de chômage de masse!
Personne n’avertit ces futurs "professeurs" que le yoga, par exemple, est dangereux pour les hyperlaxes. Ils se réveilleront un jour avec des genoux, des hanches, des épaules, des cervicales bien abimés… et auront entraîné avec eux leurs "élèves".
Un des autres problèmes du yoga est la relation élève – professeur. Il y a très souvent, surtout vis-à-vis du premier professeur rencontré, un très fort "transfert", beaucoup plus que pour les moniteurs ou professeurs de sport. Gérer un transfert demande une grande maturité, surtout si on a affaire à des gens vulnérables, psychiquement fragiles, très demandeurs.
C’est pour cela que le risque de dérive sectaire existe. Il ne s’agit pas seulement des manœuvres de quelques gourous crapuleux - il y en a - il s’agit d’un risque de dépendance créée par l’adepte lui-même.
Je suis donc inquiète de cet engouement effréné et mal contrôlé pour le yoga.
... Le yoga peut être tellement bénéfique qu’il serait dommage de le voir se dénaturer et s’auto détruire.
- Tiré du site Alternatif bien-être par Bernadette De Gasquet, PhD, MD
Pour Yoga Partout, les défis sont d'un autre ordre
En effet, en 2019, l'abondance, grâce aux nombreuses générosités provenant d'ici et d'ailleurs, Yoga Partout à su subvenir a ses besoins et communiquer aux lectrices et auditeurs la variété des yogas et la qualité, les deux à la fois. Merci New York, Boston, Toronto et Ottawa d'avoir fait économiser temps et ressources matérielles aux personnes qui voulaient vivre une expérience Nord-Américaine. Les centres de yogas dans les grandes villes paraissent bien solides en surface alors qu'ils sont fragiles.
Puis, notre requête auprès d'un fond d'investissement pour permettre à YogaPartout d'investir en accélération de processus a échoué aussi.
De plus, nous n'avons pas réussi à convaincre notre partenaire du Journal du Yoga à investir dans la fabrication de la version numérique de son magazine.
Enfin, pour mettre la cerise sur le gâteau, nous n'avons pas réussi à obtenir le partenariat avec Expo Yoga dont nous avons bénéficié depuis leur tout début.
Résultats de ces échecs
Nous continuons sans l'apport de ces organisations et publions en 2020, le magazine numérique du Yoga (imprimé aussi)
Nous vous promettons une publication de qualité
L'important c'est le contenu, les professeurs, les chroniqueurs qui ont acceptés d'écrire pour cette version numérique enchanterons. C'est un engagement pour 2020
L'entrevue podcast primée de la décennie
Après plusieurs heures d'écoutes (YP a réalisé 143 entrevues radio podcast à ce jour) nous avons tranché pour ce podcast. L'entrevue s'est déroulée entre le Canada, la Belgique et le désert du Sahara.
Bonne écoute
Et puis pour le titre de cette infolettre?
Bien, nous vous invitons a revisiter qui date de Juillet 2011 afin de vous inviter. Continuez votre pratique de Hatha, c'est ce que nous vous souhaitons. A tous le jours. Une peut de tout et le miracle du yoga s'opèrera.